
« Le silence du jardin »
Takeshi, 42 ans, employé dans une grande entreprise de Tokyo, n’avait pas pris un jour de congé depuis trois ans. Chaque matin, il se levait à 5h30, enfilait son costume, avalait un café amer, puis s’engouffrait dans le train.
Mais depuis quelque temps, quelque chose avait changé. Son corps allait, mais son kokoro( Cœur ) restait en arrière. Les rires de ses enfants le traversaient sans l’atteindre. Il n’avait plus goût à rien, ni au riz de sa femme, ni au chant des cigales.
Un jour, sans crier gare, Takeshi s’effondra dans la salle de réunion. Le diagnostic fut sobre : utsu, dépression.
Mais le médecin ajouta simplement :
« Votre kokoro est fatigué. Il faut le laisser respirer. »
Sur recommandation, Takeshi partit quelques jours dans un petit temple à Kyoto. Pas pour prier, juste pour être là.
Chaque matin, il balayait les feuilles dans le jardin zen. Le moine lui disait :
« Ne cherche pas à guérir. Écoute ton kokoro. Il ne crie pas, il chuchote. »
Au fil des jours, dans le silence du gravier ratissé, Takeshi sentit revenir une chaleur oubliée. Pas une explosion, mais un feu lent.
Un matin, en observant une libellule posée sur un bambou, il murmura :
« Arigatō… »
Sans savoir à qui il parlait. Peut-être à lui-même. Peut-être à son kokoro.
Takeshi, 42 ans, employé dans une grande entreprise de Tokyo, n’avait pas pris un jour de congé depuis trois ans. Chaque matin, il se levait à 5h30, enfilait son costume, avalait un café amer, puis s’engouffrait dans le train.
Mais depuis quelque temps, quelque chose avait changé. Son corps allait, mais son kokoro( Cœur ) restait en arrière. Les rires de ses enfants le traversaient sans l’atteindre. Il n’avait plus goût à rien, ni au riz de sa femme, ni au chant des cigales.
Un jour, sans crier gare, Takeshi s’effondra dans la salle de réunion. Le diagnostic fut sobre : utsu, dépression.
Mais le médecin ajouta simplement :
« Votre kokoro est fatigué. Il faut le laisser respirer. »
Sur recommandation, Takeshi partit quelques jours dans un petit temple à Kyoto. Pas pour prier, juste pour être là.
Chaque matin, il balayait les feuilles dans le jardin zen. Le moine lui disait :
« Ne cherche pas à guérir. Écoute ton kokoro. Il ne crie pas, il chuchote. »
Au fil des jours, dans le silence du gravier ratissé, Takeshi sentit revenir une chaleur oubliée. Pas une explosion, mais un feu lent.
Un matin, en observant une libellule posée sur un bambou, il murmura :
« Arigatō… »
Sans savoir à qui il parlait. Peut-être à lui-même. Peut-être à son kokoro.

La compréhension du mal être au printemps estassez subtile ! La dépression saisonnière au printemps ou simple blues est moins connue que celle de l’hiver, mais elle existe bel et bien. En énergétique (notamment en Médecine Traditionnelle Chinoise), le printemps correspond à une montée d’énergie Yang, un réveil, une poussée vers l’extérieur. Et c’est justement ce mouvement qui peut devenir problématique chez certaines personnes.
Voici une lecture énergétique du phénomène :
—
1. Le printemps et l’énergie du Foie (élément Bois)
Le printemps est lié à l’élément Bois, à l’organe Foie (et à la Vésicule Biliaire), qui gouverne la circulation du Qi (énergie).
Le Foie est aussi associé :
À la colère, à la frustration, à l’irritabilité.
À la planification, au projet de vie, à la créativité.
Quand l’énergie du Foie est bloquée (on parle de « stagnation du Qi du Foie »), cela peut donner :
Tristesse, humeur dépressive.
Sensation d’être à contre-courant alors que « tout devrait aller mieux ».
Agitation mentale, insomnie, colère refoulée.
Problèmes digestifs ou douleurs dans les flancs, tensions musculaires.
—
2. Pourquoi déprime-t-on au printemps ?
Alors que la nature s’éveille, certaines personnes ressentent :
Un décalage entre l’intérieur et l’extérieur (envie de rester replié alors que tout pousse à sortir).
Une montée d’énergie qu’elles ne savent pas canaliser (ce qui peut amener anxiété, agitation, puis chute d’énergie).
La pression de “devoir aller mieux” parce que les jours rallongent.
Une libération émotionnelle après l’hiver qui peut faire remonter des blessures non digérées.
—
3. Que faire en énergétique ?
Harmoniser le Foie :
Shiatsu et auto-massages pour faire circuler le Qi du Foie (ex : étirements latéraux, torsions).
Points d’acupression : F3 puissant pour libérer la stagnation du Foie.
Éviter les excès de gras, alcool, sucre qui surcharge le Foie.
Tisane de romarin, chardon marie, menthe poivrée – plantes qui soutiennent le Foie.
Accompagner le passage saisonnier :
Prendre le temps de sortir de l’hiver en douceur, sans se forcer.
Tenir un journal émotionnel pour suivre ce qui remonte.
Se relier à des projets simples pour canaliser l’énergie montante.
Ampuku & Shiatsu EqiLibre
#massage
#shiatsu
#depression
Voici une lecture énergétique du phénomène :
—
1. Le printemps et l’énergie du Foie (élément Bois)
Le printemps est lié à l’élément Bois, à l’organe Foie (et à la Vésicule Biliaire), qui gouverne la circulation du Qi (énergie).
Le Foie est aussi associé :
À la colère, à la frustration, à l’irritabilité.
À la planification, au projet de vie, à la créativité.
Quand l’énergie du Foie est bloquée (on parle de « stagnation du Qi du Foie »), cela peut donner :
Tristesse, humeur dépressive.
Sensation d’être à contre-courant alors que « tout devrait aller mieux ».
Agitation mentale, insomnie, colère refoulée.
Problèmes digestifs ou douleurs dans les flancs, tensions musculaires.
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2. Pourquoi déprime-t-on au printemps ?
Alors que la nature s’éveille, certaines personnes ressentent :
Un décalage entre l’intérieur et l’extérieur (envie de rester replié alors que tout pousse à sortir).
Une montée d’énergie qu’elles ne savent pas canaliser (ce qui peut amener anxiété, agitation, puis chute d’énergie).
La pression de “devoir aller mieux” parce que les jours rallongent.
Une libération émotionnelle après l’hiver qui peut faire remonter des blessures non digérées.
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3. Que faire en énergétique ?
Harmoniser le Foie :
Shiatsu et auto-massages pour faire circuler le Qi du Foie (ex : étirements latéraux, torsions).
Points d’acupression : F3 puissant pour libérer la stagnation du Foie.
Éviter les excès de gras, alcool, sucre qui surcharge le Foie.
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Accompagner le passage saisonnier :
Prendre le temps de sortir de l’hiver en douceur, sans se forcer.
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Hello, @Tout le monde
Tropisme : Foie/Poumon
Saveurs/Nature : piquante et frais
Les feuilles de menthe peuvent être consommées comme aromate ou infusion
Infusion : de 3 à 15g feuilles sèches ou le double en feuilles fraîches. Porter à ébullition feu moyen pendant de 5 à 10 minutes max.
Cultivez la santé au quotidien !
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